Je me suis appuyé sur un graffeur espagnol « Pejac »
1°) Description et analyse d’une photo d’une oeuvre de Pejac (ci-dessous).
Vocabulaire mobilisé : il (me) semble que, évoquer, suggèrer (estar+ger, ser/estar)
2°) lecture et étude d’un texte sur lui avec des déclarations
Problématique : pourquoi il fait ça dans la rue ? C’est de l’art ? Pourquoi reste-t-il anonyme ?
Vocabulaire et grammaire : vouloir que (+subj) ; pour que (+subj) (quizás+subj ; Le importa que+subj )
Je projette les oeuvres de Pejac qui correspondent aux descriptions du texte et je demande ce que c’est en peu de mot ; les élèves doivent utiliser le vocabulaire du texte pour décrire le dessin
3°) Contrôle écrit : écris une lettre au maire pourqu’il n’efface pas la peinture
4°) Par équipe de quatre, choisir en classe une peinture murale de Pejac (choisie sur internet et ensuite chacun.e des quatre doit l’avoir sur son téléphone portable pendant l’exercice), la décrire et la commenter. Puis, une fois finie, la présenter aux autres et cela est noté (note identique pour les quatre)
5°) Contrôle oral le lendemain : un.e élève vient présenter la peinture choisie la fois précédente mais sans notes écrites.
Ça marche pas mal si le/la prof.e tourne dans la classe pour relancer, provoquer le choix, pousser à problématiser, éviter que le téléphone portable soit trop utilisé pour autre chose que pour le travail donné.